- Les Dé-TER-minés Morvan-Yonne-Paris - https://ter.migennes.com -

24 janvier 2009 : Visualiser et apprécier la régularité de son train et de sa ligne !


Selon la presse locale du 24 janvier 2009, Madame la directrice de la ligne Bourgogne Nord de la SNCF déclarait que le résulat régularité serait affiché chaque semaine , à partir de début février, dans les principales gare de l’axe (Sens, Laroche, Joigny, Auxerre) …

Or pour la seconde semaine consécutive les résultats « régularité » affichés en gare d’AUXERRE sont ceux de la gare de MIGENNES !

Trois hypothèses et un constat … ?

Hypothèse n° 1 : l’erreur matérielle, mais perséverer dans l’incohérence marque le début de l’esprit de suite !

Hypothèse n° 2 : le bug informatique du logiciel BREHAT, voir page 92 de l’annexe 9 à la convention TER ( voir menu horizontal du bandeau en haut à gauche) qui décrit la méthode de calcul,

Hypothèse n° 3 : la confirmation que la gare d’Auxerre, c’est Laroche-Migennes comme l’écrivait E. Guigou en 1971 ..

Constat : des propos annoncés par voie de presse concernant des promesses qui s’avèrent faux cela porte un nom qui commence par la llettre M !

A suivre car en troisième semaine, car jamais deux sans trois … .?
Chapitre deux.

**
*

…/…

Vous voilà enfin intégrée, en décembre 1971, dans le saint des saints dont vous rêviez.

Pas tout à fait encore.

J’ai du préparer mon stage administratif.

On m’a envoyée à Auxerre dans l’Yonne.

Ce n’était pas franchement gai.

A la préfecture ?

Comme Jean-Louis était prof à Dijon et que nous habitions Paris, ils ont cru malin de m’envoyer à mi-chemin.

Sauf que la gare d’Auxerre, c’est Laroche Migennes, à 50 kilomètre, car les auxerrois avaient refusé le chemin de fer au XIX siècle.

En allant à Dijon en milieu de semaine, Jean-Louis s’arrêtait à Laroche-Migennes.

J’allait le chercher tard le soir.

C’était lugubre.

Il repartait très tôt le lendemain matin.

J’étais seule toute la semaine à la préfecture et on se retrouvait pour le week-end à Paris.

Ce n’était pas inintéressant, je travaillait sur l’urbanisme.

J’avais un préfet sympa, Jean Périer. Il avait trois filles et faisait tout pour me faciliter la tâche.

Et après ?

…/…

Une femme au cœur de l’Etat.
Elisabeth GuiGou.
Entretiens avec Pierre Favier et Michel Martin-Roland.
Librairie Arthème Fayard, 2000.
Éditions Fayard
ISBN : 2-213-60713-3